Cyclisme – Mondiaux 2027 : Voeckler affiche son ambition

Publié le 16 avril 2025 à 15H30 - mis à jour le 16 avril 2025 à 16H58

Alors que les Championnats du monde de cyclisme auront lieu en France en 2027, le sélectionneur des Bleus Thomas Voeckler a fait part de son ambition, lui qui espère voir les Tricolores briller à domicile.

Alors qu’on connait désormais les détails des Championnats du monde de cyclisme qui se tiendront en France en 2027, il y aura 20 épreuves qui seront organisées du 24 août au 5 septembre et qui se dérouleront  en Haute-Savoie et dans le Vélodrome National de St-Quentin-en-Yvelines. Après cette annonce, Thomas Voeckler s’est exprimé sur le sujet mardi. « Il faut vraiment comprendre que c’est une chance d’avoir cet événement en France. Les « super » Championnats du monde ont lieu une fois tous les quatre ans. Toutes les disciplines du vélo sont représentées au même moment. Toutes les disciplines du vélo sont représentées au même moment. Que ce soit le VTT, le BMX, le cyclisme sur piste, le cyclisme sur route, le para-cyclisme et l’e-sport, qui sera intégré pour la première fois, ce sont des mini Jeux Olympiques du vélo qui auront lieu en France », a dans un premier temps expliqué le sélectionneur de l’équipe de France.

Voeckler : « On visera la victoire »

« J’espère que l’on progressera dans la hiérarchie mondiale pour viser une médaille sur le contre-la-montre. Aujourd’hui, on n’en est pas capable. Sur le relais mixte, on est vraiment candidats. Pour la course en ligne, c’est dur de dire aujourd’hui quelles seront les forces en présence dans deux ans et demi. Mais il est clair que nous viserons la victoire. On visera la victoire parce qu’il y a des jeunes qui vont progresser. Courir pour la deuxième place ne m’intéresse pas, a par la suite déclaré Voeckler, sur la chaîne L’Equipe. Il y a toujours la possibilité de tenter quelque chose. La deuxième et la troisième place, ce n’est pas comme aux Jeux Olympiques. Je m’en fous complètement. Je me fous de montrer un bilan en m’appuyant sur le fait que des coureurs ont fait des places. Non, ce qui m’intéresse c’est de tenter, de tout mettre en place pour essayer de gagner. Quitte à ce que le premier français soit 35e. Ce n’est pas grave. »

À propos de l’auteur

Guillaume Marion

Formé à Grenoble puis transféré à Paris, j'aime les revers à une main long de ligne de Roger Federer, l'exubérance de Tim Duncan, la persévérance de Steve Mandanda et l'ovalie grenobloise.

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